Au coeur du Musée des Evolutions de Bousies, un joli petit dinosaure très rigolo. Y'a rien d'autre à dire.
Situé à 10 km au sud-ouest de Maubeuge, et au nord et à l’ouest de la vallée de la Sambre, ce massif est inclus dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe, dans le canton du Quesnoy-Ouest, sur la commune de Locquignol, faisant de ce... Agrandir
Situé à 10 km au sud-ouest de Maubeuge, et au nord et à l’ouest de la vallée de la Sambre, ce massif est inclus dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe, dans le canton du Quesnoy-Ouest, sur la commune de Locquignol, faisant de ce village la commune ayant la plus grande superficie du département du Nord.
Avec ses 9 163 ha, la forêt de Mormal est le plus grand massif forestier du département du Nord. C'est le seul abritant une population de cerfs (ayant pour origine, comme les sangliers et chevreuils, une réintroduction, car les grands mammifères y avaient totalement disparu, à la suite d'une chasse intensive après la Révolution française).
C'est une forêt publique et « domaniale » et donc gérée par l’Office national des forêts (ONF) sous le contrôle du ministère de l'Agriculture. Elle est principalement constituée de futaies de chênes pédonculés (80-90 ans), hêtres, charmes, frênes.
Les arbres y sont tous relativement jeunes, car la forêt a été presque entièrement coupée lors de la Première Guerre mondiale et à nouveau surexploitée lors de la Seconde Guerre mondiale.
Ce massif est pour le Nord de la France un élément essentiel du réseau Natura 2000, du réseau écologique paneuropéen et de la Trame verte régionale. / Réduire
Au sortir de la première guerre mondiale, il fut nécessaire de reconstruire les réseaux ferroviaires et le dépôt d’Aulnoye, servant à la maintenance, complètement détruit. C’est l’architecte alsacien Gustave UMBDENSTOCK qui fut chargé dès 1920 de la reconstruction de l’ensemble des... Agrandir
Au sortir de la première guerre mondiale, il fut nécessaire de reconstruire les réseaux ferroviaires et le dépôt d’Aulnoye, servant à la maintenance, complètement détruit.
C’est l’architecte alsacien Gustave UMBDENSTOCK qui fut chargé dès 1920 de la reconstruction de l’ensemble des infrastructures ferroviaires aux alentours d’Aulnoye. Un nouveau dépôt sera ainsi reconstruit en 1922, ainsi qu’une cabine d’aiguillage perchée à 40 mètres du sol, sur une tour de béton armé agrémentée d’un système d’horloge placé sur les quatre faces de la tour. Cette tour est donc ce qu'il reste de l'ancienne gare d'Aulnoye, étant autrefois l'un des noeux de communication les plus importants de France (le deuxième après Paris). / Réduire
Le Moulin de Fuchaux était un moulin fortifié datant de 1598. A cet emplacement, il existait déjà un moulin durant la période antique, ce dernier se trouvant sur le trajet de l’une des voies romaines (chaussée Brunehaut).
L’abbaye de Liessies possédait au XIIe siècle un moulin à Fayt. C’est donc un moulin déjà très ancien qui est représenté par des aquarelles au début du XVIIe siècle. La vantellerie est alors en bois. La façade principale porte encore... Agrandir
L’abbaye de Liessies possédait au XIIe siècle un moulin à Fayt. C’est donc un moulin déjà très ancien qui est représenté par des aquarelles au début du XVIIe siècle. La vantellerie est alors en bois. La façade principale porte encore les deux premiers chiffres 16 d’une reconstruction en brique sur fond de pierre calcaire. On ne sait à quelle époque la superbe vantellerie actuelle en pierre de taille a été construite. Le recensement de 1809 lui donne deux roues, ce qui est confirmé par divers articles de presse, en 1846 et 1849, qui le citent comme un moulin à deux tournants. Il a été réglementé par une ordonnance royale du 26 décembre 1836.
A la date du 6 janvier 2005 le moulin est inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. / Réduire
Le Moulin de Cartignies, construit en 1695, est une ancienne propriété de l’Abbaye de Liessies. A partir de 1919, il produira de l’électricité pour le village. La villa art-déco du hameau « au-dessus-du-Moulin », construite sur sa falaise de schiste,... Agrandir
Le Moulin de Cartignies, construit en 1695, est une ancienne propriété de l’Abbaye de Liessies. A partir de 1919, il produira de l’électricité pour le village. La villa art-déco du hameau « au-dessus-du-Moulin », construite sur sa falaise de schiste, surplombe le moulin. / Réduire
Le temple de l’amour, situé entre Féron et Sains-du-Nord, a été construit par le Prince Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754 – 1838 ). Il était à l’époque la reproduction du petit temple édifié par l’impératrice Joséphine dans son domaine de la... Agrandir
Le temple de l’amour, situé entre Féron et Sains-du-Nord, a été construit par le Prince Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754 – 1838 ). Il était à l’époque la reproduction du petit temple édifié par l’impératrice Joséphine dans son domaine de la Malmaison. Ce monument, à l’architecture singulière, ne passe pas inaperçu dans le paysage! Celui-ci possédait autrefois quatre colonnes de marbre de Rance, destinées au chantier de Versailles. Non utilisées, elles furent rachetées par les moines de Liessies avant d’être acquises par Talleyrand! Vers la fin du 19ème, ces colonne prirent le large pour être acheminées outre-atlantique.
Elle furent dans un premier temps remplacées par des piliers de briques, et le petit temple de l’amour, laissé à l’abandon, servit d’abri à bétail! Fort heureusement, le temple fut restauré un peu plus tard. Des colonnes de pierre de forme similaire aux colonnes d’origine, furent installées. / Réduire
L'abbaye de Liessies est une abbaye bénédictine, située à Liessies, dans le Nord, en France. L'abbaye connut son apogée aux xvie et xviiie siècles grâce à des travaux d'enluminures réputés dans toute l'Europe. En 1791, l’abbaye fut détruite en partie... Agrandir
L'abbaye de Liessies est une abbaye bénédictine, située à Liessies, dans le Nord, en France. L'abbaye connut son apogée aux xvie et xviiie siècles grâce à des travaux d'enluminures réputés dans toute l'Europe. En 1791, l’abbaye fut détruite en partie et vendue. Les habitants de Dompierre vinrent reprendre par les armes les reliques de saint Etton.
L'église paroissiale conserve des objets et des œuvres d'art provenant de l'abbaye. Le parc abbatial, conservé avec ses aménagements hydrauliques, est l'une des composantes de l'écomusée de l'Avesnois.
Depuis 2008, le Bûcher aux Moines, au cœur du parc de l'abbaye, abrite les Rencontres internationales et interdisciplinaires de Liessies consacrées aux relations « Sociétés/Environnement ».
Le Parc départemental occupe sur 48 ha le site de l’ancienne abbaye de Liessies, qui avait été fondée en 764. Créé à partir de la fin du XVII°siècle sous l’abbatial de Laurent Bouillon, le Parc de l’abbaye était un lieu de détente et de méditation. Il reste aujourd’hui un lieu de promenade très agréable. / Réduire
ValJoly est ? dans le nord de la France (Eppe-Sauvage et communes voisines) ? à la fois le nom d’un lac artificiel de 180 hectares réalisé peu avant 1970 et celui de la base nautique et de la base de... Agrandir
ValJoly est ? dans le nord de la France (Eppe-Sauvage et communes voisines) ? à la fois le nom d’un lac artificiel de 180 hectares réalisé peu avant 1970 et celui de la base nautique et de la base de loisirs qui y ont été construites.
Créé en concomitance avec la construction d'un barrage (début des travaux en 1966, mise en eau en 1969), le lac du ValJoly est situé dans la vallée de l'Helpe Majeure à 175 m d’altitude par rapport au niveau de la mer, dans le département du Nord en France, sur la commune d'Eppe-Sauvage à 2 km de la frontière belge. La forme sinueuse de ses 19 km de berges est donnée par la configuration de la vallée, elle-même déterminée par l'ancien lit majeur de la rivière l'Helpe Majeure et de deux de ses affluents locaux (Orbay et Voyon). Avec ses environ 3500 m de long pour une largeur d’environ 250 mètres en son centre, c'est le plus grand lac de la région Nord-Pas-de-Calais, et le plus grand en France directement au nord de Paris.
Depuis 2008, le parc départemental du ValJoly est devenu une station touristique. / Réduire
Petit village dans le bocage de l'Avesnois, cette commune abrite un Prieuré avec une communauté de deux moines. Ce prieuré magnifique comporte des éléments en pierre bleue, extraite des carrières environnantes des Monts de Baives.
Localisée sur le territoire du Parc naturel régional de l’Avesnois, la réserve naturelle des monts de Baives atteint environ 240 m d’altitude et présente un intérêt géologique. Le calcaire de couleur bleu-gris ici présent est appelé couramment « pierre bleue... Agrandir
Localisée sur le territoire du Parc naturel régional de l’Avesnois, la réserve naturelle des monts de Baives atteint environ 240 m d’altitude et présente un intérêt géologique. Le calcaire de couleur bleu-gris ici présent est appelé couramment « pierre bleue ». Tous les habitats de cette partie de la région (et l'Avesnois en général) a sa toiture en pierre bleue. C'est notamment le cas dans les villages environnants : Moustier en Fagne, Wallers en Fagne, Baives, Trelon, Ohain, Macon ...
Depuis les monts de Baives, il est possible de découvrir un vaste panorama, limité par les massifs forestiers de la forêt de Trélon et du bois de Neumont.
On peut y découvrir plusieurs lieux d'intérêts : les Monts de Baives déjà, mais également un ancien four à chaux, la chapelle Saint Fiacre, des coteaux crayeux, des pelouses ... Une véritable bouffée d'air frais à proximité de la Belgique. / Réduire
L'église de Solre-le-Château est une construction en pierre bleue du xvie siècle, facilement repérable à son clocher penché. Le 10 mai 1611, un incendie consuma l'ancienne flèche et une partie de l'église. Dans la remise en état de l'édifice, on... Agrandir
L'église de Solre-le-Château est une construction en pierre bleue du xvie siècle, facilement repérable à son clocher penché. Le 10 mai 1611, un incendie consuma l'ancienne flèche et une partie de l'église. Dans la remise en état de l'édifice, on substitua alors à l'ancien clocher (sans doute gothique) la belle flèche bulbiforme qui penche aujourd'hui la tête vers la place. Loin d'être un élément purement décoratif, le bulbe fut avant tout conçu comme un poste de guet à 360° qui permettait de surveiller plus particulièrement la route de Sars-Poteries, voie ordinaire des invasions françaises...
Le penchant de la flèche peut s'expliquer doublement ; d'une part, par les fortes intempéries qui ont pourri le bois et déstabilisé la charpente ; d'autre part, par un défaut de fabrication au niveau du report des pièces de bois sur les murs périphériques et sur les corbeaux ancrés dans la maçonnerie à un niveau beaucoup plus bas… L'inclinaison du clocher ne remet cependant pas en cause son équilibre. / Réduire
Le Motovlogueur préféré de tes Motovlogueurs préférés. Depuis 2017 roulant en Yamaha XT660Z Ténéré, je fais des vidéos de type rigolade et de type découverte du Nord de la France. N'hésite pas à me rejoindre sur YouTube et ailleurs !