Faisant parti du premier épisode de Trésors en Nord, l'émetteur de Bouvigny Boyeffles n'a rien de particulier. Hormis le fait qu'il soit le point le plus haut de tous les Hauts de France, et la 9è structure la plus haute... Agrandir

Faisant parti du premier épisode de Trésors en Nord, l'émetteur de Bouvigny Boyeffles n'a rien de particulier. Hormis le fait qu'il soit le point le plus haut de tous les Hauts de France, et la 9è structure la plus haute de France.

C'est l'un des émetteurs les plus puissants de France en TV analogique, TNT et Radios FM de Radio France. L’émetteur héberge aussi les antennes mobiles de SFR en 2G et 3G, Bouygues Télécom en 2G, 3G et 4G, et Free Mobile en 3G et 4G Le pylône actuel date de 1990. L'ancien pylône construit en novembre 1959 fut détruit après la fin de la construction du nouveau pylône en 1990 et la construction du nouveau pylône a commencé en 1989.

L'émetteur de Bouvigny-Boyeffles couvre une grande partie de la région Nord-Pas-de-Calais, dans une zone comprise entre Bapaume, Saint-Omer mais également Valenciennes. Près de trois millions et demi de personnes dépendent de cet émetteur. C'est aussi l'un des trois émetteurs principaux de la ville d'Amiens avec les émetteurs de Limeux (Somme) et l'Émetteur d'Amiens Saint-Just (Oise).

Tel un phare, il est visible à plus de 70km à la ronde / Réduire

Encore appelé "Table des Fées" ou même "Bise Pierre", vieux de plus de 4000 ans, il est l'unique rescapé d'un ensemble mégalithique gigantesque, malheureusement démantelé au XIXème siècle. A l'origine, cet ensemble était constitué : - de 4 dolmens, disposés... Agrandir

Encore appelé "Table des Fées" ou même "Bise Pierre", vieux de plus de 4000 ans, il est l'unique rescapé d'un ensemble mégalithique gigantesque, malheureusement démantelé au XIXème siècle. A l'origine, cet ensemble était constitué :
- de 4 dolmens, disposés en losange, reliés entr'eux par des allées de pierres levées et formant, par ce fait, une enceinte sacrée ;
- de 2 galgals (le 1er de 26 m de long sur 1,60 m de haut, le 2ème de 50 m de long sur 2 m de haut) qui délimitaient l'ensemble au Nord-Ouest.

En fait les quatres dolmens symbolisaient les points cardinaux et étaient reliés par un chemin de grès. Les tailleurs de grès du 19emme siècle cassèrent le trois autres pour paver des routes.Frappé par la foudre ce Dolmen échappa aux marteaux des paveurs.

Situé entre le hameau de Verdrel et celui de Fresnicourt, le dolmen est visible rue du Dolmen à Fresnicourt Le Dolmen. On dit que ce coin de bois est surnaturel…

A certaines périodes de l’année, des fées « les demoiselles blanches », se réunissent autour du dolmen pour célébrer des rites anciens. Leurs silhouettes forment une ronde et dansent au son d’une musique. Malheur aux passants qui, envoûtés par les sortilèges, sont entraînés sous le dolmen dans le monde des fées.

Pour découvrir ce site, il existe un sentier de randonnée qui démarre de la place du XVIIème siècle et qui vous fera découvrir le château d'Olhain, le dolmen de Fresnicourt (bien évidemment) ainsi que le golf d'Olhain.

D'ailleurs, c'est aussi un excellent coin de découverte à moto ! / Réduire

Aujourd'hui appelée la Taverne du Moulin, le gué de Caucourt était autrefois un lieu de passage pour se rentre dans le Bruaysis. Le plus beau moment, aux dires des gens du coin, c’est quand un attelage de chevaux lancé à... Agrandir

Aujourd'hui appelée la Taverne du Moulin, le gué de Caucourt était autrefois un lieu de passage pour se rentre dans le Bruaysis. Le plus beau moment, aux dires des gens du coin, c’est quand un attelage de chevaux lancé à vive allure, dans le soleil levant d’octobre, s’engage dans le gué de Caucourt. Leurs crinières flamboient et en éclaboussant, l’eau du gué se transforme en mille diamants étincelants. Bien des photographes ont immortalisé l’instant lors de la course équestre Le Rallye d’Olhain. C’est magique. / Réduire

C'est très certainement le château le plus connu des châteaux Artésiens. Situé sur la commune de Fresnicourt (à 16 km au sud de Béthune), le château d'Olhain, en Artois, a été conservé en ses plans d'origine avec sa "baille" ou... Agrandir

C'est très certainement le château le plus connu des châteaux Artésiens. Situé sur la commune de Fresnicourt (à 16 km au sud de Béthune), le château d'Olhain, en Artois, a été conservé en ses plans d'origine avec sa "baille" ou "basse-cour". Il nous parvient du lointain Moyen-Age, comme un authentique exemple de "château fort des plaines de l'Europe de Nord". C'est l'un des plus beaux fleurons du patrimoine historique de la région. Il est le château médiéval le mieux conservé du Nord de la France. L'ensemble imposant est bâti au creux du vallon, et baigne ses murs de grès au milieu d'un étang d'eaux vives. Il est inscrit à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1989.

C'est vers 1200 que Hughes d'OLHAIN, capitaine croisé, armé Chevalier au siège de Constantinople, édifia cet ensemble défensif, avec l'aide et pour la sécurité des habitants du hameau. Bien défendu par des douves en eau et 3 pont-levis, il servira de refuge pendant les périodes troublées des XIIIe et XIVe siècles, puis, le château évoluera en garnison au XV, XVIe et XVIIe siècles et la "basse-cour" en ferme, au XVIIe siècle.

En 1641, le château, occupé par les espagnols, fut investi par surprise par un détachement de la garnison française d'Arras qui massacra tout ce qui s'y trouvait en armes. René de BERGHES, capitaine au régiment français de Rambures, fut tué au siège de Rocroi sous les ordres du Grand Condé.

En 1900, le château et la ferme furent vendus aux enchères et achetés par monsieur DARTOIS. Les terres étaient à vendre avec le château, considéré comme un fardeau. Monsieur DARTOIS confia le domaine à son neveu, Jules DUTOIT. Des troupes furent cantonnées au château d'Olhain lors des batailles d'Artois, après la première bataille de la Marne et jusqu'à la fin de la guerre 1914-1918.

Durant 4 ans, troupes et chevaux des armées françaises, anglaises puis canadiennes occupèrent château, dépendances, bâtiments d'exploitation et prairies voisines.

Lors de la guerre 1939-1945, ce sont cette fois les troupes anglaises et canadiennes qui occuperont le château. Il gardera de nombreuses traces de ces occupations successives dans les ailes droites et gauche. Ces salles ne sont pas ouvertes à la visite. Dans les combles de l'aile droite, on retrouve de nombreuses inscriptions laissées par les soldats ainsi que des impacts de balles dans les murs au premier étage de l'aile gauche. / Réduire

Ce grès ovoïde, à l’apparence anodine, fit beaucoup parler de lui. La nuit, il avait la fâcheuse habitude d’aller frapper aux portes des épouses infidèles. Las de ses escapades facétieuses, il fut décidé de l’enchaîner pour la paix des foyers.... Agrandir

Ce grès ovoïde, à l’apparence anodine, fit beaucoup parler de lui.
La nuit, il avait la fâcheuse habitude d’aller frapper aux portes des épouses infidèles. Las de ses escapades facétieuses, il fut décidé de l’enchaîner pour la paix des foyers. Lors de la guerre 14-18, un soldat éconduit, pour se venger d’une Galcinoise vertueuse, le plaça devant sa porte. De colère, elle l’enterra dans son jardin.

Ce n’est qu’en 1925, qu’un officier américain Henry Selden Bacon l’enchaîna solidement. Depuis, fini les scandales ! Ici, on dit : « si t’é mat’ det’fem’ assit’ te such’Gal, t’in sra débarassé ! »

On ne connaît pas exactement l’origine de cette pierre de 132 Kg. Selon les légendes, ce serait le diable, qui en voulant tracer la chaussée Brunehaut , aurait fait rouler une pierre ronde du haut de la cathédrale de Thérouane vers Arras. Cette pierre se serait arrêtée à Gauchin. Il s’agit probablement d’une sorte de « boulet » où l’on attachait les personnes ayant commis un vol ou un crime, afin de les exposer sur la place public. Quoiqu’il en soit, le gal conserve toujours sa réputation. On raconte qu’il voyagea beaucoup pendant la guerre 1914/18 , lors de la présence dans la région des soldats anglais et américains.

Mais depuis qu’il est enchaîné, la paix est revenue dans les chaumières et les femmes de Gauchin sont des plus fidèles. / Réduire

La Cascade de Souchez est un lieu très connu des motards qui viennent photographier leurs motos devant, toute l'année. Elle est située aux abords du Bois du Carieul, qui couvre un peu plus de 9ha au coeur de Souchez. On... Agrandir

La Cascade de Souchez est un lieu très connu des motards qui viennent photographier leurs motos devant, toute l'année. Elle est située aux abords du Bois du Carieul, qui couvre un peu plus de 9ha au coeur de Souchez. On y observe un certain nombre de milieux (boisé, humide, ouvert) permettant à la nature de s’exprimer en ville. Ce site a récemment été ré-aménagé pour permettre l’accès à tous. / Réduire