Planté sur la place du jeu de Tamis, il daterait du début des années 1600 et avant son classement d'arbre remarquable en 2005, il était, en 1930 classé aux monuments historiques. Symbole de liberté, d'indépendance en son temps, c'est la tradition populaire locale qui lui a procuré sa notoriété et une respectabilité infinie...
La coutume locale qui perdure encore est lié au dicton populaire qui dit " Premier passé, maître sera ". qui veut qu'à la sortie de l'église, les jeunes mariés se dirigeaient sous un drap tendu sous la frondaison du tilleul aux épousailles pour franchir en premier cette porte symbolique du bonheur... Le premier des deux mariés qui réussissait devenait ainsi "le maître du ménage" (facile, encore faut il assumer)
L'amusante coutume se renforce à la lecture de la comptine que rapporte G Jacquiot :
"Le jour du mariage, il est un vieil usage, il faut pour être bien marié, sous l'arbre être tous deux passés, qui le premier passera, toujours le maître sera".
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